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Premières visions j «Rumor Has It…»: Jennifer Aniston joue Sarah, une jeune femme qui découvre que les personnages du film The Graduate sont inspirés par les membres de sa famille. Quelques rires pour une comédie romantique «mollassonne». Réalisation: Rob Reiner. Avec K. Costner et S. MacLaine. (Espace, Circuit Empire – sauf Sofil) j «The Promise»: Ce film de sabre suit le destin d’une jeune femme (Cecilia Cheung) qui, dans la Chine ancestrale, est condamnée à ne jamais connaître l’amour. Quelques scènes esthétiquement remarquables servent une histoire basique ponctuée par un déluge d’effets spéciaux. Réalisation: Chen Kaige. (Concorde, Abraj, Zouk) l «Aeon Flux»: Adaptée d’une série animée diffusée sur MTV, l’histoire tourne autour du personnage d’Aeon (Charlize Theron), une rebelle qui tente de contrer les forces du mal dans la ville futuriste nommée Bregna. Un film aussi mince que l’actrice principale. Réalisation: Karyn Kusama. (Kaslik, Freeway, Empire ABC/Sodeco/Dunes/Galaxy). Prolongations j «Asylum»: Cette adaptation du roman de Patrick McGrath présente le thème classique de la jeune femme éprise d’un artiste interné. De bonnes prestations pour un film sans réel intérêt. Réalisation: David McKenzie. Avec N. Richardson, I. McKeller et M. Csokas. (Empire Sofil, Kaslik) l «Bandidas»: Pseudo western comique avec Penelope Cruz et Salma Hayek dans leurs plus mauvaises prestations. Sorte de Robin des Bois aux féminins, les belles se contentent d’être belles et d’évoluer dans une histoire plate et ennuyeuse. (Concorde, Abraj, Zouk) j «Big Momma’s House 2»: Cette suite présente plus ou moins les mêmes gags que le premier volet et tourne une fois de plus autour du personnage Martin Lawrence, un flic déguisé en grosse nounou pour les besoins d’une mission. Réalisation: John Whitesell. (Espace, Freeway, Circuit Empire – sauf Sofil) j j j «Bosta»: Film libanais de Philippe Aractingi autour d’une troupe de danseurs qui décident de revisiter la dabké traditionnelle. Un road-movie musical remplit de joie, de couleurs et de thèmes forts. Spectacle et émotions assurés. Avec Rodney el-Haddad, Nadine Labaki, Nada Abou Farhat et Liliane Nemri. (Concorde, Abraj, Zouk) j «Casanova» : Petite comédie légère et sans prétention autour du jeune séducteur du XVIIIe siècle. Les acteurs ainsi que les splendides paysages sauvent le film de l’oubli total. Réalisation: Lasse Hallström. Avec H. Ledger, S. Miller et J. Irons. (Concorde, Abraj, Zouk) l «Cheaper by the Dozen 2»: Nous retrouvons Steve Martin et sa grande famille dans une suite aussi insignifiante, lourde et plate que le premier volet. Réalisation: Adam Shankman. (Espace, Freeway, Circuit Empire – sauf Sofil). j j j «Good Night, and Good Luck»: Entre images d’archives et fiction, George Clooney donne une réflexion engagée sur le rôle et la responsabilité des médias à travers l’exemple d’Edward Murrow, un journaliste télé qui contribua à la chute de McCarthy. Élégance et sobriété caractérisent un film coup de poing, défendu par une excellente distribution. Avec G. Clooney, D. Straitham et R. Downey Jr. (Empire ABC/Sodeco) l «Just Friends»: Comédie américaine autour d’un ancien lycéen obèse et impopulaire devenu célèbre producteur à LA et qui décide de séduire une amie d’enfance. Ennuyeux et lourd. Réalisation: Roger Kumble. Avec Ryan Reynolds et Amy Start. (Concorde, Abraj, Zouk) j j j «Memoirs of a Geisha» : cette splendide adaptation signée Rob Marshall suit la vie d’une jeune japonaise devenue célèbre geisha dans le Japon des années 30-40. Beauté des dialogues, des costumes et des décors. Le dépaysement est total. (Espace, Freeway, Empire ABC/Galaxy/Sofil) j «Mother Teresa of Calcutta»: Une œuvre plus adaptée au petit qu’au grand écran, filmée de manière sobre et classique. Reste les acteurs, les citations inspirées et l’intérêt même du personnage. Réalisation: Fabrizio Costa. Avec Olivia Hussey, Sebastiano Somma et Michael Mendl. (Espace, Freeway, Empire Sodeco/Galaxy/St-Élie) j «Nanny McPhee»: Un conte essentiellement destiné aux plus jeunes, et qui suit les aventures de sept enfants perturbateurs dont la vie change dès l’arrivée d’une nanny aux pouvoirs magiques. Réalisation: Kirk Jones. Avec E. Thompson et C. Firth. (Kaslik, Freeway) j j «Pride and Prejudice» : Adaptée du roman de Jane Austen, l’histoire suit les méandres amoureux des filles Bennet dans l’Angleterre du XVIIIe siècle. Quelques minauderies effacées par l’excellente distribution, des dialogues inspirés et de beaux décors. Réalisation : Joe Wright. Avec K. Knightley, B. Blethyn, M. Macfayden, J. Dench et D. Sutherland. (Empire Sodeco, Kaslik, Freeway) j j «Prime»: Une femme de 37 ans s’amourache d’un jeune homme de 23 ans qui s’avère être le fils de sa psy. Légère et divertissante, cette comédie romantique repose essentiellement sur ses actrices de talent, Uma Thurman et Meryl Streep. Réalisation: Ben Younger. (Abraj, Zouk) l «Saw II»: L’histoire suit huit personnes enfermées dans une maison et contraintes de relever des défis terrifiants. Des images trash et des litres de sang servent un film où la dimension psychologique est totalement ratée. Réalisation : Darren Lynn Bousman. (Concorde) j j «The Constant Gardener»: Thriller politico-romantique qui dresse un réquisitoire contre les pratiques de l’industrie pharmaceutique en Afrique à travers l’histoire d’un homme qui enquête sur l’assassinat de son épouse militante. Une caméra stylée et des acteurs talentueux. Réalisation: Fernando Meirelles. Avec Ralph Fiennes et Rachel Weisz. (Concorde, Abraj, Zouk) l «The Myth» : Jackie Chan incarne un archéologue à la recherche d’une pierre au pouvoir magique. Cette quête le fera voyager dans le temps, à la période des empereurs de Chine. Des dialogues aussi faibles que la prestation des acteurs. Réalisation: Stanley Tong. (Concorde, Abraj, Zouk) l «Underworld: Evolution»: Des vampires, des chauves-souris, du sang et beaucoup de violence servent un film d’une vacuité alarmante. Réalisation: Len Wiseman. Avec K. Beckinsale et S. Speedman. (Freeway) j j j «Walk the Line»: Passionnant «biopic» autour de Johnny Cash, légende de la musique country. Le film suit sa descente aux enfers ainsi que son histoire d’amour avec June Carter. Des personnages complexes, incarnés par des acteurs totalement habités. Réalisation: James Mangold. Avec R. Witherspoon et J. Phoenix. (Empire ABC/Dunes/Galaxy, Espace) j j «Where the Truth Lies»: Atom Egoyan brosse un portrait sombre du monde du spectacle des années 50 à travers un duo de comiques mêlés dans des histoires louches. Un film noir rehaussé par la subtilité des acteurs masculins et la beauté du cadrage. À noter une censure assassine des scènes à caractères sexuels. Avec K. Bacon, C. Firth et A. Loham. (Empire ABC). N.B. : Les programmes ci-dessus sont donnés sous toute réserve.