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13 OCTOBRE 1990 La famille du soldat défunt Élias Aoun sous le choc
le 15 mars 2006 à 00h00
Le choc était énorme pour la famille du soldat de l’armée libanaise, Élias Aoun, lorsqu’elle a appris son décès, suite à la parution des résultats des tests ADN effectués sur les restes des corps déterrés de la fosse commune du périmètre du ministère de la Défense et sur les familles des soldats disparus. Un choc accompagné d’une immense douleur, néanmoins teintée d’incrédibilité, car la famille restait persuadée qu’Élias Aoun était toujours détenu en Syrie, selon les témoignages d’anciens prisonniers qui avaient été libérés. Les parents du soldat tué le 13 octobre 1990, qui participaient au sit-in avec les familles de détenus dans les prisons syriennes, devant le siège de l’Escwa, ont néanmoins fait part de leur foi dans le comité de suivi et dans l’armée libanaise, chargés d’identifier les dépouilles mortelles déterrées de la fosse commune du ministère de la Défense.
La nouvelle de l’identification des restes d’Élias Aoun a rapidement fait le tour du village de Jdeidet el-Fakihat, situé dans la Békaa-Nord. La population s’est alors pressée au domicile de ses parents, Georgette Makdessi et Youssef Aoun, soldat à la retraite, pour les traditionnelles condoléances.
Le choc était énorme pour la famille du soldat de l’armée libanaise, Élias Aoun, lorsqu’elle a appris son décès, suite à la parution des résultats des tests ADN effectués sur les restes des corps déterrés de la fosse commune du périmètre du ministère de la Défense et sur les familles des soldats disparus. Un choc accompagné d’une immense douleur, néanmoins teintée...
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