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Actualités - CHRONOLOGIE

EN BREF...

La pollution, c’est aussi à la maison Rhinites, toux nocturne, asthme, eczéma, maux de tête… Loin d’être toujours un refuge, notre habitat peut aussi se transformer en ennemi pour notre santé. En cause, des millions d’allergènes qui nous entourent au quotidien. Mais qu’il est heureusement possible de combattre. Les allergènes les plus communs sont les acariens. Ils se réfugient plutôt dans les matelas et sommiers. Ces bestioles, invisibles à l’œil nu, élisent aussi domicile dans la poussière. Voilà pourquoi moquettes et autres tissus muraux sont vraiment à bannir par les asthmatiques et allergiques. Les acariens « n’attaquent » que si on les déplace. Ils se réfugient dans l’air lors du ménage ou simplement lorsque vous marchez sur une moquette. En revanche, les allergènes du chat et du chien sont en permanence mesurables dans l’air. Ils sont transportés par nos vêtements et se déposent partout. Dans une maison qui n’a jamais abrité d’animal domestique, à titre d’exemple. Méfiez-vous des moisissures, apparentes ou non, qui squattent murs, moquettes ou matelas. Et même les restes de nourriture tombés sur le sol. Ils vont nourrir les blattes qui, elles aussi, transportent leur cortège d’allergènes et de bactéries. Le simple fait de laisser pénétrer l’air frais élimine les traces d’humidité, abaisse la température et limite le développement des acariens. Le matin, aérez les chambres. Et si votre habitation est pourvue d’un vide sanitaire, veillez à ce qu’il soit aéré. C’est indispensable pour éviter des problèmes liés à l’humidité. De petites ouvertures grillagées suffisent pour le ventiler. Veillez également à maintenir une température de 18°C à 20°C et évitez les ambiances surchauffées, favorables à la prolifération d’acariens. Un chewing-gum, et ça repart ? La gomme à mâcher permettrait d’accélérer la guérison après chirurgie du côlon, en stimulant notamment les voies nerveuses du cerveau et de l’estomac, permettant ainsi une reprise plus rapide des fonctions intestinales. Une opération de l’abdomen peut en effet les ralentir, voire entraîner une occlusion intestinale. Pour permettre aux intestins de fonctionner à nouveau, il est nécessaire que le patient s’alimente. Le problème, c’est qu’après ce type d’intervention, la plupart des malades ne tolèrent pas la nourriture. D’où l’idée de la gomme à mâcher. Le Pr Rob Schuster, du Cottage Hospital de Santa Barbara, en Californie, a constitué deux groupes de malades opérés du côlon. Le premier devait dès le lendemain de l’intervention mâcher trois fois par jour du chewing-gum. Les patients du deuxième groupe n’avaient rien à mastiquer. Résultat, les premiers ont pu sortir de l’hôpital après 4,3 jours de convalescence, contre 6,8 pour les autres. Ils ont également eu des flatulences et des selles beaucoup plus tôt et, en l’occurrence, il semble que ce soit un avantage ! Nuançons cependant la portée de ce travail, qui n’a été réalisé que sur 34 patients. Une cohorte bien trop mince, si l’on ose dire, pour tirer des conclusions définitives… Source : l’agence de presse Destination santé
La pollution, c’est aussi à la maison

Rhinites, toux nocturne, asthme, eczéma, maux de tête… Loin d’être toujours un refuge, notre habitat peut aussi se transformer en ennemi pour notre santé. En cause, des millions d’allergènes qui nous entourent au quotidien. Mais qu’il est heureusement possible de combattre.
Les allergènes les plus communs sont les acariens. Ils se...