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Un entrepreneur trop entreprenant Un entrepreneur en bâtiment venu faire des travaux de réfection dans une maison close de Tel-Aviv s’est follement épris d’une des filles de la maison et s’est retrouvé en prison pour avoir tenté de l’enlever. Après l’avoir couverte de cadeaux et lui avoir avoué en vain sa passion, il a forcé la porte de la chambre où elle recevait un client et a tenté de l’enlever en tenue d’Eve, le patron et les gardiens du lieu à ses trousses. Son épouse et ses enfants, accourus au tribunal, ont réussi à le tirer de prison en obtenant du juge sa mise en résidence surveillée. Mal habillées… Comment se « fesses » -t-il ? Une chercheuse écossaise de l’université d’Édimbourg a lancé une étude scientifique pour tenter de répondre à une question fondamentale que se posent (presque) toutes les femmes : « Comment sont mes fesses dans ce vêtement ? » Lisa Macintyre, 33 ans, de la Heriot-Watt University’s School of Textiles and Design, entend découvrir comment dessin, couleurs, motifs et matières affectent la perception visuelle des fesses des femmes. Les premiers résultats de cette étude devraient être connus en mai 2006. S’ils sont significatifs, ils pourraient avoir des conséquences sur la mode féminine et l’industrie du textile, fait valoir la chercheuse. « Les créateurs et les consommateurs n’ont pas actuellement accès à une information qui leur permette de faire ou choisir les vêtements mettant en valeur la taille et la forme du corps », a déclaré Lisa Macintyre. Or, « il est généralement reconnu que le fait d’améliorer la perception de son corps peut augmenter la confiance et l’estime de soi », a ajouté la chercheuse sur la BBC. « L’étude va offrir pour la première fois des informations détaillées et utilisables qui pourraient permettre aux créateurs de réaliser les vêtements qui aident les femmes à tirer le meilleur parti de leurs atouts naturels », a-t-elle indiqué. Pour ce faire, elle va étudier quatre types de derrières féminins représentant la majeure partie des femmes. Des volontaires essaieront des centaines de vêtements différents et seront systématiquement photographiées pour les besoins de l’étude. Il y a le type « standard », les fesses qualifiées simplement de féminines, les fesses pleines dites « préraphaélites », les fesses menues et celles très arrondies, comme celles de la chanteuse Jennifer Lopez. Lisa Macintyre ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle a déjà déposé une demande pour obtenir une bourse de recherche publique pour étendre le champ de son étude. Aux fesses des hommes ? Une route fermée en Grande-Bretagne pour protéger… les ébats des crapauds Une route communale du comté du Somerset (sud-ouest de l’Angleterre) a été fermée pour trois mois… afin de protéger les ébats des crapauds. Les batraciens, installés dans le bois de Norton, près de la commune de Clevedon, en Cornouailles, ont en effet pour habitude chaque année de traverser la route voisine pour trouver des zones humides visiblement plus propices à leurs performances amoureuses. Mais ce voyage, aussi court soit-il, se révélait souvent fatal pour des dizaines d’animaux, qui terminaient leurs pérégrinations écrasés sous les pneus des voitures, malgré les efforts déployés par de nombreux bénévoles. En 2005, une « patrouille de défense des crapauds » avait ainsi travaillé sur le terrain, pour aider plus de 1 000 d’entre eux à traverser en toute sécurité. Mais, malgré les efforts de ces militants, les victimes restaient trop nombreuses. Selon Andrew Town, 61 ans, organisateur de cette patrouille, les mâles étaient les plus touchés par cette hécatombe, trop occupés apparemment à chercher les femelles les plus attirantes pour guetter les voitures : « Il y a de nombreuses victimes, particulièrement parmi les mâles, qui tendent à rester au milieu de la route à coasser pour attirer leurs conquêtes. » « Les mâles étant beaucoup plus petits que les femelles, ils aiment aussi attendre sur la route pour essayer de faire du stop et monter sur une femelle pour traverser », explique Andrew Town. Après 76 ans de séparation, deux sœurs se retrouvent grâce à l’Internet Doris Coughtrey, une Britannique de 79 ans, séparée depuis 76 ans de sa sœur aînée Irène, va enfin revoir celle-ci, grâce au travail de fin limier mené par son voisin, sur Internet. Lors de leur dernière rencontre, en 1929, Doris avait 3 ans et Irène 9 ans. Nées à Islington, dans le nord de Londres, les deux sœurs ont été séparées après le décès de leur mère et placées dans des familles d’accueil. Et elles ne devaient plus jamais se parler, jusqu’à ce samedi 31 décembre 2005. Mariée et aujourd’hui veuve, désormais installée à Peterborough, dans le Cambridgeshire, au nord de Londres, Doris n’a jamais ou presque parlé de sa sœur. Mais elle se confie à son voisin, Gordon Low, 66 ans, fin 2005, et lui raconte cette séparation. À la retraite, après une vie à vendre des moteurs, celui-ci décide de relever le défi. Et il tente sa chance sur Internet, sur le site « Genes reunited ». « Doris m’avait raconté son histoire, et comme je m’intéresse beaucoup à ces histoires d’arbres généalogiques, je me suis dit que j’allais essayer de retrouver sa sœur », explique modestement Gordon à l’agence de presse britannique Press Association. Et il a fait mouche en quatre jours à peine. « J’ai d’abord été contactée par un des enfants et un des petits-enfants d’Irène, puis, samedi, je lui ai parlé au téléphone, pour la première fois depuis 1929, raconte Doris. Il y a eu beaucoup de larmes, c’était magnifique. » Pour se retrouver face à face avec Irène Barker, 85 ans, qui porte encore le patronyme familial, Doris devra cependant attendre quelques jours encore. La rencontre est prévue en février, à la maison de retraite où se trouve désormais la vieille dame, à Maidstone, dans le Kent, dans le sud-est de l’Angleterre. « Je n’ai aucun souvenir d’avoir dit au revoir à Irène, mais je me suis toujours demandé ce qu’elle était devenue », raconte aujourd’hui Doris. « Si quelqu’un m’avait dit que j’allais la revoir, je ne l’aurais pas cru. C’est au-delà de mes rêves les plus fous et je ne remercierai jamais assez Gordon. » « J’espère seulement que cela va donner de l’espoir à tous ceux qui ont perdu contact avec des proches depuis 10 ou 15 ans ; si nous avons pu nous retrouver après 76 ans, il y a de l’espoir pour tout le monde », insiste Doris. Le mystère de l’iPod à la viande Une mère de famille de Hawaii qui avait acheté un iPod pour l’offrir à son fils à Noël a eu la déconvenue de découvrir avec lui, dans la boîte siglée Apple... de la viande hachée. Rachel Cambra, habitante de l’État américain situé dans le milieu de l’océan Pacifique, avait économisé 300 dollars pour le modèle dernier cri du baladeur numérique, acheté dans le supermarché Wal-Mart de Honolulu où elle travaille. Fou de joie en découvrant la petite boîte marquée de la pomme le matin de Noël, l’adolescent de 14 ans est passé du rire aux grimaces en l’ouvrant : à l’emplacement normalement dévolu à l’appareil se trouvait de la viande hachée d’origine indéterminée, dans un emballage sous vide. « Quand il a découvert cela, il était en colère et blessé », a déclaré Mme Cambra, se disant « atterrée ». Elle a assuré que la boîte était scellée et ne semblait pas avoir été manipulée. Wal-Mart a accepté de remplacer le produit.
Un entrepreneur trop entreprenant
Un entrepreneur en bâtiment venu faire des travaux de réfection dans une maison close de Tel-Aviv s’est follement épris d’une des filles de la maison et s’est retrouvé en prison pour avoir tenté de l’enlever.
Après l’avoir couverte de cadeaux et lui avoir avoué en vain sa passion, il a forcé la porte de la chambre où elle recevait un client...