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Actualités - CHRONOLOGIE

Farès : « J’ai peut-être déposé un bulletin blanc »

Le vice-président du Conseil des ministres, Issam Farès, a plaidé hier pour que le vote soit considéré comme un devoir qui s’impose à chaque électeur. « Le Liban ne peut évoluer que grâce au processus électoral. Les Libanais doivent s’exprimer et le faire systématiquement. » « J’ajoute, a-t-il enchaîné, que je considère tous les candidats ici comme des membres de ma famille, et je ne fais aucune discrimination entre les uns et les autres. » M. Farès a refusé de répondre à la question de savoir pour quelle liste il a voté. « Je pourrais avoir déposé un bulletin blanc », a-t-il dit. Et d’affirmer que, dès le départ, il avait annoncé qu’il ne prendrait pas parti et que « la situation au Akkar était différente de toutes les autres ». Par ailleurs, M. Farès a parlé d’une nouvelle prise de conscience par le gouvernement de la nécessité d’un « développement équilibré des régions », passé la phase au cours de laquelle l’effort de développement s’est concentré sur la capitale. « Je serai aux côtés des 81 conseils municipaux qui seront élus aujourd’hui, et je les invite à se concentrer sur la croissance et le développement de leurs agglomérations, et à éviter les dissensions et les susceptibilités politiques », a encore affrimé le vice-président du Conseil.
Le vice-président du Conseil des ministres, Issam Farès, a plaidé hier pour que le vote soit considéré comme un devoir qui s’impose à chaque électeur. « Le Liban ne peut évoluer que grâce au processus électoral. Les Libanais doivent s’exprimer et le faire systématiquement. » « J’ajoute, a-t-il enchaîné, que je considère tous les candidats ici comme des membres de...