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Sommet arabe Le mot « réformes » dérange Beyrouth et Damas (Photo)
le 22 mai 2004 à 00h00
La Syrie, soutenue par le Liban, souhaite retirer le terme de « réformes » du document sur cette question et ne garder que le titre de « développement et modernisation », ont affirmé hier soir des délégués réunis à Tunis pour le 16e sommet arabe qui s’ouvre aujourd’hui. « La Syrie estime que le monde arabe n’a pas besoin d’utiliser le terme de “réformes” et doit se contenter d’utiliser la mention “développement et modernisation” dans l’intitulé du document », a indiqué un de ces délégués. La Tunisie est un des pays qui souhaitent inclure le terme de « réformes » dans le document.
Ce point aurait dû être évoqué hier soir par les présidents Émile Lahoud et Bachar el-Assad. Mais le chef de l’État syrien est arrivé à 21h au lieu de 17h (heure de Tunis), et les deux présidents ont décidé de se réunir ce matin en marge des travaux du sommet.
La Syrie, soutenue par le Liban, souhaite retirer le terme de « réformes » du document sur cette question et ne garder que le titre de « développement et modernisation », ont affirmé hier soir des délégués réunis à Tunis pour le 16e sommet arabe qui s’ouvre aujourd’hui. « La Syrie estime que le monde arabe n’a pas besoin d’utiliser le terme de “réformes” et...
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