Le « président » Quentin Tarantino était hier la vedette de la Croisette où il présentait hors compétition Kill Bill, vol. 2, un film à la violence de bande dessinée, pendant que les intermittents et précaires tentaient de trouver un second souffle au lendemain des heurts qui les ont opposés samedi à la police.
À la veille d’aborder sa deuxième semaine, le festival devait aussi affronter des problèmes matériels.
La grève au Carlton n’a toujours pas trouvé d’issue et les syndicats (de la CGT à la CGCE) appelaient à un arrêt de travail dans la restauration et l’hôtellerie pour aujourd’hui.
Pour comble de malheur, les pensionnaires d’un des palaces du front de mer étaient contraints de se laver à l’eau froide, en raison d’une panne de chaudière.
Le « président » Quentin Tarantino était hier la vedette de la Croisette où il présentait hors compétition Kill Bill, vol. 2, un film à la violence de bande dessinée, pendant que les intermittents et précaires tentaient de trouver un second souffle au lendemain des heurts qui les ont opposés samedi à la police.
À la veille d’aborder sa deuxième semaine, le festival...
À la veille d’aborder sa deuxième semaine, le festival...
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