Pour les 86 familles des victimes du crash de l’avion de Cotonou, le 25 décembre 2003, une seule question : qu’attend la justice pour mener l’enquête et punir les coupables ? Un an après la tragédie qui avait endeuillé tout le Liban, le sentiment des familles est que, sur le plan officiel, tout est fait pour classer l’affaire et protéger les coupables, à savoir les...
Actualités - REPORTAGE
Crash de Cotonou Un an après, qu’attend la justice pour réagir ?
le 27 décembre 2004 à 00h00
Pour les 86 familles des victimes du crash de l’avion de Cotonou, le 25 décembre 2003, une seule question : qu’attend la justice pour mener l’enquête et punir les coupables ? Un an après la tragédie qui avait endeuillé tout le Liban, le sentiment des familles est que, sur le plan officiel, tout est fait pour classer l’affaire et protéger les coupables, à savoir les propriétaires de l’avion qui s’est écrasé en mer non loin des plages de la capitale béninoise. Selon le rapport des experts internationaux, la surcharge et la mauvaise répartition des marchandises ont provoqué le crash de l’avion, et malgré cela les propriétaires, Darwiche Khazem et son père Ahmed, vivent en liberté, sans être inquiétés. Pour les familles des victimes, c’est comme une seconde mort...
Page 5, l’article
de Scarlett HADDAD
Pour les 86 familles des victimes du crash de l’avion de Cotonou, le 25 décembre 2003, une seule question : qu’attend la justice pour mener l’enquête et punir les coupables ? Un an après la tragédie qui avait endeuillé tout le Liban, le sentiment des familles est que, sur le plan officiel, tout est fait pour classer l’affaire et protéger les coupables, à savoir les...
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