Le Liban a de nouveau les yeux braqués sur Washington et New York, avec la multiplication des informations, en provenance de ces deux villes, au sujet d’une nouvelle réduction des effectifs de la Finul, dont le mandat doit être normalement renouvelé fin janvier. Ce que Beyrouth craint surtout, c’est que dans la foulée de cette réduction, les puissances occidentales ne décident une suppression pure et simple de la Finul. Une telle décision, que le Liban essaie d’éviter à tout prix en multipliant les contacts diplomatiques, n’aurait qu’un seul objectif pour les autorités : accentuer les pressions exercées sur le Liban pour qu’il envoie son armée au Sud, en application de la 1559.
Page 4, l’article
de Khalil FLEYHANE
Le Liban a de nouveau les yeux braqués sur Washington et New York, avec la multiplication des informations, en provenance de ces deux villes, au sujet d’une nouvelle réduction des effectifs de la Finul, dont le mandat doit être normalement renouvelé fin janvier. Ce que Beyrouth craint surtout, c’est que dans la foulée de cette réduction, les puissances occidentales ne...
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