À l’issue de l’entretien, qui a duré près d’une heure, M....
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Le député du Chouf a été reçu hier par le patriarche à Bkerké Joumblatt : Oui à la présence défensive syrienne, non aux ingérences(photo)
le 09 décembre 2004 à 00h00
Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a transmis hier au patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, les salutations du président français Jacques Chirac. M. Joumblatt, qui s’est rendu hier à Bkerké, a évoqué avec Mgr Sfeir sa visite à l’Élysée et son entretien avec M. Chirac.
À l’issue de l’entretien, qui a duré près d’une heure, M. Joumblatt a affirmé : « Le président Chirac m’a chargé de transmettre ses salutations au patriarche Sfeir, et c’est ce que j’ai fait aujourd’hui. J’ai également tenu le patriarche au courant des discussions entre le président français et moi à Paris. »
Interrogé sur les polémiques qui ont accompagné sa visite en France, M. Joumblatt a indiqué : « Elle restera sujette à des polémiques. Cependant, mes propos étaient et restent très clairs concernant l’importance des efforts de l’opposition libanaise et des efforts français pour aboutir au rétablissement de l’indépendance et de la souveraineté du Liban. J’ai été très clair à Paris concernant la question de la présence syrienne. J’ai fait la différence entre la présence stipulée dans Taëf, c’est-à-dire la présence défensive, et les ingérences des services de renseignements syriens dans les affaires libanaises. Voilà ce que je rejette, ni plus ni moins ». Concernant enfin le climat politique tendu qui prévaut actuellement à Beyrouth, M. Joumblatt a indiqué : « Je ne crois pas qu’il est opportun, à partir de ce lieu important, d’entrer dans des polémiques avec quelques gamins au Liban. »
Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a transmis hier au patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, les salutations du président français Jacques Chirac. M. Joumblatt, qui s’est rendu hier à Bkerké, a évoqué avec Mgr Sfeir sa visite à l’Élysée et son entretien avec M. Chirac.
À l’issue de l’entretien, qui a duré près d’une heure, M....
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