Actualités
Partis Pakradouni rappelle l’attachement des Kataëb à toutes les libertés
le 16 mars 2004 à 00h00
Karim Pakradouni a profité hier d’une réunion à Saïfi du bureau exécutif du parti Kataëb pour rappeler que ce dernier « lutte depuis 67 ans en faveur de la défense des libertés ». Pour les Kataëb, a-t-il ajouté, la liberté « est plus qu’un article de la Constitution, plus qu’un système politique : c’est une doctrine globale à laquelle s’est attaché le parti face à tous les courants qui ont envahi le monde arabe ces dernières décennies et qui ont voulu que prévalent les régimes monarchiques, militaires ou les partis uniques ». « Hier comme aujourd’hui, les Kataëb sont soucieux de l’indépendance et des libertés, et d’une façon inconditionnelle », a poursuivi le ministre de la Réforme administrative, énumérant toutes les libertés qu’entend défendre son parti : liberté individuelle, de croyance, d’enseignement, liberté de la propriété personnelle, d’opinion et de manifestation, de regroupement, de la presse, d’opinion orale et écrite, liberté de créer des partis, etc. « Porter atteinte à l’une d’entre elles serait s’en prendre à toutes les libertés », a-t-il dit, soulignant que la seule limite de celles-ci est la loi. « Voilà pourquoi les Kataëb refusent que l’on s’en prenne à la liberté de manifestation ou qu’on l’interdise : c’est un droit naturel, garanti par la Constitution », a indiqué Karim Pakradouni, indiquant que les Kataëb, « au nom de leur présence au gouvernement, insistent pour que soit assuré le droit aux manifestations dans le cadre de la loi ».
Karim Pakradouni a profité hier d’une réunion à Saïfi du bureau exécutif du parti Kataëb pour rappeler que ce dernier « lutte depuis 67 ans en faveur de la défense des libertés ». Pour les Kataëb, a-t-il ajouté, la liberté « est plus qu’un article de la Constitution, plus qu’un système politique : c’est une doctrine globale à laquelle s’est attaché le parti...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes
Billets froissés, déchirés ou tachés : ces dollars dont personne ne veut au Liban