« Avant l’échéance présidentielle, nous espérions changer de parcours, sortir de cette paralysie dont souffrent les institutions étatiques, en créant un choc positif qui renforcerait notre démocratie, après une longue période de corruption », a affirmé le député de Beyrouth, Michel Pharaon, lors d’un meeting populaire organisé à Mazraa. M. Pharaon a également déclaré : « Nous vivons aujourd’hui une absence totale de dialogue, alors que le pays traverse une situation très sensible, tant au niveau interne qu’international. » « Nous ne pouvons régler nos problèmes en nous lançant des accusations, mais en formant un cabinet d’union nationale, dont le programme devra obtenir à l’avance l’accord de toutes les parties », a-t-il ajouté, avant de préciser que ce programme devra prévoir la reprise du dialogue, une loi électorale juste et l’application de l’accord de Taëf. « Tous les Libanais veulent conserver la dignité du Liban, son unité, sa souveraineté et son indépendance, tout en ayant une relation stratégique avec la Syrie. Cette équation n’est pas impossible », a-t-il conclu.
« Avant l’échéance présidentielle, nous espérions changer de parcours, sortir de cette paralysie dont souffrent les institutions étatiques, en créant un choc positif qui renforcerait notre démocratie, après une longue période de corruption », a affirmé le député de Beyrouth, Michel Pharaon, lors d’un meeting populaire organisé à Mazraa. M. Pharaon a également...
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