Au congrès des journalistes arabes qui poursuit ses travaux au Caire, Melhem Karam a développé hier un exposé condensé sur les valeurs. Cela, dans le cadre de la session tenue par la commission des libertés médiatiques et de l’essor démocratique dont il dirige les débats en tant que vice-président de la fédération arabe. Le président de l’Ordre des journalistes libanais a souligné que sans la liberté, les principes éthiques n’ont aucun sens. À la fortune, le sage préférera toujours la liberté si on lui demande de choisir, a-t-il relevé. Pour lui, la corporation arabe doit militer en faveur de la promotion de l’individu, en tant qu’entité morale libre et démocratique, au sein de la société. Karam ajoute que les journalistes arabes s’efforcent constamment de libérer les esprits par la plume et de défendre les droits de l’homme. Notant que depuis la Révolution française pionnière, en passant par la Charte de l’Onu proclamée le 10 janvier 1948, les faits, les réalités ont toujours trompé les espérances en matière de droits de l’homme. Le combat doit donc continuer, souligne-t-il enfin, pour une société saine, pour la paix, pour la justice.
Au congrès des journalistes arabes qui poursuit ses travaux au Caire, Melhem Karam a développé hier un exposé condensé sur les valeurs. Cela, dans le cadre de la session tenue par la commission des libertés médiatiques et de l’essor démocratique dont il dirige les débats en tant que vice-président de la fédération arabe. Le président de l’Ordre des journalistes...
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