Il a longtemps été le baromètre du Liban. Tant que les courses attiraient du monde, c’est que tout allait bien au pays du Cèdre. C’est d’ailleurs l’hippodrome de Beyrouth qui a le plus souffert de l’invasion israélienne en 1982. Il est revenu à la vie, il y a près de douze ans, grâce aux efforts des membres de la Sparca (association qui le gère pour le compte de la...
Actualités - REPORTAGE
Reportage L’hippodrome, un lieu de retrouvailles en quête d’un nouvel âge d’or(photo)
le 09 août 2004 à 00h00
Il a longtemps été le baromètre du Liban. Tant que les courses attiraient du monde, c’est que tout allait bien au pays du Cèdre. C’est d’ailleurs l’hippodrome de Beyrouth qui a le plus souffert de l’invasion israélienne en 1982. Il est revenu à la vie, il y a près de douze ans, grâce aux efforts des membres de la Sparca (association qui le gère pour le compte de la municipalité) et de son présient Nabil de Freige. Mais il reste encore beaucoup de chemin à faire avant le retour des beaux jours. Principal obstacle, le double manque de budget et de chevaux. Mais pour les « mordus » des courses, il n’est pas question de rater le rendez-vous du dimanche...
PAGE 5, le reportage
de Scarlett HADDAD
Il a longtemps été le baromètre du Liban. Tant que les courses attiraient du monde, c’est que tout allait bien au pays du Cèdre. C’est d’ailleurs l’hippodrome de Beyrouth qui a le plus souffert de l’invasion israélienne en 1982. Il est revenu à la vie, il y a près de douze ans, grâce aux efforts des membres de la Sparca (association qui le gère pour le compte de la...
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