L’ambassadeur des États-Unis Vincent Battle a affirmé hier qu’il « appréciait » la position du patriarche Nasrallah Sfeir concernant l’échéance présidentielle. Cette « appréciation » anodine en soi prenait hier un sens particulier du fait qu’elle s’inscrit en réalité dans un contexte de matraquage politique américain se résumant en une idée : l’élection présidentielle doit se faire dans le respect de la Constitution. Dans ce cadre, les observateurs accordent une grande importance à la visite que doit effectuer aujourd’hui le chef de l’État à Dimane, où il rencontrera le cardinal Sfeir, qui a déjà émis des réserves au sujet d’un amendement constitutionnel. Un autre événement est attendu, en l’occurrence le discours que prononcera dimanche le président Émile Lahoud à l’occasion de la fête de l’Armée.
L’ambassadeur des États-Unis Vincent Battle a affirmé hier qu’il « appréciait » la position du patriarche Nasrallah Sfeir concernant l’échéance présidentielle. Cette « appréciation » anodine en soi prenait hier un sens particulier du fait qu’elle s’inscrit en réalité dans un contexte de matraquage politique américain se résumant en une idée : l’élection...
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