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Actualités - CHRONOLOGIE

Des conditions de dernière heure auraient fait fuir les sociétés étrangères Cellulaire : rien n’est encore joué

Toutes les options sont possibles et rien n’est encore joué. Telle est l’impression qui prévalait hier soir dans les milieux proches du ministère des Télécommunications et de certaines sociétés étrangères, à la lumière du résultat très peu honorable (pour le gouvernement) auquel a abouti l’appel d’offres portant sur la privatisation de la téléphonie mobile. La crédibilité de l’État sur ce plan est en jeu. D’autant que certaines conditions de dernière heure posées par le Conseil supérieur pour la privatisation (CSP, en charge de la gestion de l’appel d’offres) auraient incité les sociétés étrangères à se retirer de la course, ne laissant en lice que les deux compagnies locales dans lesquelles le Premier ministre et le ministre des Travaux publics ont des intérêts, d’une manière indirecte (dans le cas de M. Rafic Hariri) ou directe (dans le cas de M. Mikati). Il reviendra au Conseil des ministres de prendre la décision finale pour le choix des sociétés qui seront chargées de la gestion du réseau. Ce qui devrait permettre de réintroduire au moins une compagnie étrangère sur le marché local. Page 2, l’article de Michel TOUMA
Toutes les options sont possibles et rien n’est encore joué.
Telle est l’impression qui prévalait hier soir dans les milieux proches du ministère des Télécommunications et de certaines sociétés étrangères, à la lumière du résultat très peu honorable (pour le gouvernement) auquel a abouti l’appel d’offres portant sur la privatisation de la téléphonie mobile. La...