Bien qu’ils aient démenti être impliqués dans cette action, les indépendantistes sont en effet les premiers suspects, l’opération s’étant déroulée au sud de la Russie, non loin de la République tchétchène.
Une attaque dont le bilan provisoire s’élevait hier soir à 40 morts et plus de 150 blessés, et qui a provoqué la colère du Kremlin.
Alors que le président Poutine la qualifiait de « tentative de déstabilisation du pays à la veille des élections », le ministre de l’Intérieur, Boris Grizlov, ne contenait pas sa colère, déclarant : « Nous trouverons ceux qui ont fait cela. Le sol brûlera sous leurs pieds. Ces bêtes sauvages ne seront plus jamais en sécurité ».
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