Il reconnaît quand même qu’un travail doit être effectué pour améliorer la qualité des produits exportés, tout en mettant l’accent sur le rôle que le secteur privé peut jouer pour rendre les produits agricoles libanais compétitifs et conformes à tous les niveaux aux normes requises par les pays importateurs. Avec un budget annuel dérisoire, un manque cruel de cadres techniques, M. Khalil n’a cependant guère de moyens pour mettre à exécution un plan de développement agricole. Pourtant, il reste déterminé à stimuler ce secteur, fort du soutien du chef de l’État qui a fait état, hier, d’une série d’initiatives visant à promouvoir l’agriculture.
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Le ministre Khalil minimise le renvoi par l’UE des produits agricoles
le 15 octobre 2003 à 00h00
Il reconnaît quand même qu’un travail doit être effectué pour améliorer la qualité des produits exportés, tout en mettant l’accent sur le rôle que le secteur privé peut jouer pour rendre les produits agricoles libanais compétitifs et conformes à tous les niveaux aux normes requises par les pays importateurs. Avec un budget annuel dérisoire, un manque cruel de cadres techniques, M. Khalil n’a cependant guère de moyens pour mettre à exécution un plan de développement agricole. Pourtant, il reste déterminé à stimuler ce secteur, fort du soutien du chef de l’État qui a fait état, hier, d’une série d’initiatives visant à promouvoir l’agriculture.
Le ministre de l’Agriculture, Ali Hassan Khalil, minimise l’importance du renvoi par certains pays de l’Union européenne de produits agricoles importés du Liban et considérés hors normes, soulignant que les quantités exportées vers l’Europe ne sont pas énormes.Il reconnaît quand même qu’un travail doit être effectué pour améliorer la qualité des produits...
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