Quelque 550 Irakiens, pour la plupart des chiites, réfugiés au Liban à cause de la guerre en Irak, ont été emmenés hier par la route vers leur pays via la Syrie.
Sur ce total, environ 400 personnes, en particulier des femmes et des enfants, ont été regroupées dans la banlieue sud de Beyrouth pour ensuite être emmenées dans des bus affrétés par des hommes d’affaires chiites libanais, sous la surveillance de la police libanaise et d’un fonctionnaire irakien, a-t-on précisé à l’ambassade d’Irak.
Cent cinquante Irakiens, écroués à la prison centrale de Roumieh pour entrée illégale au Liban, ont également été relâchés et embarqués dans des bus à destination de l’Irak, a indiqué la même source.
Un ex-opposant irakien au régime déchu de Saddam Hussein, Machane al-Joubouri, avait affirmé lundi qu’un poste-frontière syro-irakien avait été ouvert pour permettre le passage « des commerçants et des marchandises ».
Selon M. Joubouri, qui est aussi membre du Comité de coordination et de suivi de l’opposition irakienne formé en décembre 2002 à Londres, le « gouverneur militaire américain de la région nord-ouest de l’Irak, le général David Petraeus, a décidé d’ouvrir le poste-frontière irakien de Rabiaa qui fait face à celui d’al-Yaaroubiya côté syrien » pour le passage des commerçants et des marchandises.
Trois postes-frontières existent à la frontière entre la Syrie et l’Irak, longue de quelque 600 kilomètres. Celui d’al-Yaaroubiya, le plus éloigné de la capitale syrienne, est situé à 1 000 km au nord-est de Damas.
Sur ce total, environ 400 personnes, en particulier des femmes et des enfants, ont été regroupées dans la banlieue sud de Beyrouth pour ensuite être emmenées dans des bus affrétés par des hommes d’affaires chiites libanais, sous la surveillance de la police libanaise et d’un fonctionnaire irakien, a-t-on précisé à l’ambassade d’Irak.
Cent cinquante Irakiens, écroués à la prison centrale de Roumieh pour entrée illégale au Liban, ont également été relâchés et embarqués dans des bus à destination de l’Irak, a indiqué la même source.
Un ex-opposant irakien au régime déchu de Saddam Hussein, Machane al-Joubouri, avait affirmé lundi qu’un poste-frontière syro-irakien avait été ouvert pour permettre le passage « des commerçants et des marchandises ».
Selon M. Joubouri, qui est aussi membre du Comité de coordination et de suivi de l’opposition irakienne formé en décembre 2002 à Londres, le « gouverneur militaire américain de la région nord-ouest de l’Irak, le général David Petraeus, a décidé d’ouvrir le poste-frontière irakien de Rabiaa qui fait face à celui d’al-Yaaroubiya côté syrien » pour le passage des commerçants et des marchandises.
Trois postes-frontières existent à la frontière entre la Syrie et l’Irak, longue de quelque 600 kilomètres. Celui d’al-Yaaroubiya, le plus éloigné de la capitale syrienne, est situé à 1 000 km au nord-est de Damas.
Quelque 550 Irakiens, pour la plupart des chiites, réfugiés au Liban à cause de la guerre en Irak, ont été emmenés hier par la route vers leur pays via la Syrie.Sur ce total, environ 400 personnes, en particulier des femmes et des enfants, ont été regroupées dans la banlieue sud de Beyrouth pour ensuite être emmenées dans des bus affrétés par des hommes d’affaires...
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