Le chef du Parlement, Nabih Berry, est monté hier au créneau en faisant état, sans mâcher ses mots, d’une « crise de pouvoir qui aggrave encore davantage les problèmes socio-économiques ».
Les propos de M. Berry interviennent dans un climat politique morose qu’accentue le froid qui caractérise les rapports entre les chefs de l’État et du gouvernement, et qui dure depuis des mois.
Mais le chef du Parlement, qui a mis en garde contre toute tentative de « faire assumer au Parlement les conséquences négatives de cette crise », se trouve lui-même au centre d’une polémique, provoquée par son intention de se rendre samedi à Zahlé. Une visite à connotation politique et électorale dénoncée par certaines personnalités de la Békaa.
Le chef du Parlement, Nabih Berry, est monté hier au créneau en faisant état, sans mâcher ses mots, d’une « crise de pouvoir qui aggrave encore davantage les problèmes socio-économiques ».Les propos de M. Berry interviennent dans un climat politique morose qu’accentue le froid qui caractérise les rapports entre les chefs de l’État et du gouvernement, et qui dure depuis...
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