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De Villepin réaffirme au patriarche son soutien à la souveraineté totale du Liban Sfeir loue le « sentiment national » de Aoun et dénonce les caprices de la justice (photo)

Calmement, fermement et sûr, sans aucun doute, de son bon droit. C’est ainsi que le patriarche maronite s’est exprimé hier à Paris. « Aujourd’hui, le général Aoun fait ce qui lui semble bon pour libérer le Liban et nous ne pouvons que le louer pour son sentiment national. Nous réclamons tous deux la même chose, mais il a sa manière pour ce faire, et j’ai la mienne », a dit Mgr Sfeir. Avant de dénoncer les caprices d’une justice qui « ouvre et ferme à volonté » le dossier du général en exil ; de refuser catégoriquement tout amendement de la Constitution et d’expliquer pourquoi, vu l’état des choses, il lui est impossible de se rendre en Syrie. D’autre part, le maître de Bkerké, qui a également été reçu par Christian Poncelet et Nicolas Sarkozy, a écouté attentivement ce que lui a affirmé le chef de la diplomatie française, Dominique de Villepin. Que le Liban et la Syrie « doivent respecter, chacun, la souveraineté de l’autre ».
Calmement, fermement et sûr, sans aucun doute, de son bon droit. C’est ainsi que le patriarche maronite s’est exprimé hier à Paris. « Aujourd’hui, le général Aoun fait ce qui lui semble bon pour libérer le Liban et nous ne pouvons que le louer pour son sentiment national. Nous réclamons tous deux la même chose, mais il a sa manière pour ce faire, et j’ai la mienne »,...