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« Il est temps de s’en prendre au bras qui tient le bâton », affirme le CPL

Le Courant patriotique libre (CPL) s’en est de nouveau pris au pouvoir qu’il a qualifié d’« État du holding familial », rappelant les promesses de « châtier les coupables, appliquer la loi, respecter la liberté de la justice et instaurer l’État de droit » dont aucune n’a été remplie, « à l’ombre de l’occupation baassiste syrienne du Liban et d’un pouvoir corrompu qui tient en otage l’État et ses institutions ». « Toutes ces belles promesses étaient formulées par le chef de l’État au moment même où Me Élie Ferzli (homonyme et parent du vice-président de la Chambre) était arrêté et interrogé à son arrivée à l’aéroport de Beyrouth sans avoir été inculpé et au mépris de son statut d’avocat », a jouté le CPL dans un communiqué publié hier. Ce qui s’est passé avec Me Ferzli, a poursuivi le communiqué, constitue « une atteinte flagrante aux droits les plus élémentaires d’un Libanais de retour de voyage, convaincu qu’il se trouve sous la protection de la loi ». Et de conclure : « Condamner et dénoncer de tels agissements est un devoir, mais il s’agit d’aller plus loin. Il est temps de ne plus se contenter d’affronter le bâton et de frapper le bras qui le tient ».
Le Courant patriotique libre (CPL) s’en est de nouveau pris au pouvoir qu’il a qualifié d’« État du holding familial », rappelant les promesses de « châtier les coupables, appliquer la loi, respecter la liberté de la justice et instaurer l’État de droit » dont aucune n’a été remplie, « à l’ombre de l’occupation baassiste syrienne du Liban et d’un pouvoir...