Dans son discours prononcé hier pour le 25e anniversaire de la disparition de l’imam Moussa Sadr en Libye, le chef du Parlement et du mouvement Amal, Nabih Berry, a appelé à « l’ouverture de tous les dossiers, loin de toute ingérence politique ». Dans un souci de « transparence et d’honnêteté », il a plaidé en faveur de l’État de droit qui, selon lui, doit constituer l’autorité suprême dans le pays. Selon M. Berry, « le processus de réforme doit démarrer et ne plus s’arrêter, sinon le Liban sera en danger ».
Par ailleurs, au sujet de la disparition de l’imam Sadr, le président de la Chambre a demandé au gouvernement d’adresser « un mémorandum à l’Onu, à la Ligue arabe, à l’OCI et aux organisations des droits de l’homme ». Devant plus de 30 000 personnes rassemblées à Baalbeck, il a appelé l’État à se saisir de cette affaire « afin de faire toute la vérité sur le sort de l’imam et de ses deux compagnons ».
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Dans son discours prononcé hier pour le 25e anniversaire de la disparition de l’imam Moussa Sadr en Libye, le chef du Parlement et du mouvement Amal, Nabih Berry, a appelé à « l’ouverture de tous les dossiers, loin de toute ingérence politique ». Dans un souci de « transparence et d’honnêteté », il a plaidé en faveur de l’État de droit qui, selon lui, doit...
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