L’employé agressé a été hospitalisé, dans un état critique, a affirmé un communiqué publié à ce sujet.
Le communiqué ajoute que les employés, y compris des percepteurs de l’office, s’exposent, dans l’exercice de leurs fonctions, à des insultes, à des coups et parfois à des vols, et que l’un d’eux est toujours diminué du fait de l’agression dont il a été l’objet.
« Même des employés à leurs bureaux s’exposent parfois aux insultes et aux menaces », a ajouté le syndicat, rappelant qu’en vertu d’une décision prise en Conseil des ministres, le 31 mars 2000, les employés de l’EDL ont la possibilité de se faire accompagner d’une escorte des FSI chargée de les protéger dans l’exercice de leurs devoirs, « dans les zones à risque ».
Une grève plus dure sera observée si les auteurs de l’agression ne sont pas arrêtés, a menacé le syndicat.
L’agression s’est produite dans la région de Hadeth-Leylaki, dans la banlieue sud.
La direction de l’EDL a, à son tour, publié un communiqué protestant contre l’agression dont a été l’objet l’un des employés, précisant que c’est le 22e employé de l’EDL qui s’expose à ce genre d’action brutale, dans l’exercie de ses fonctions.
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent-ils la paix ?
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat