Le débat de mardi au Conseil de sécurité sur l’Irak est en train, de plus en plus, d’acquérir « une importance capitale » – un débat à l’issue duquel « l’extension du rôle de l’Onu sera pratiquement acquise ». Ghassan Salamé dixit, interrogé au téléphone, de Téhéran puis de Bagdad, par L’Orient-Le Jour. Et qui explique le pourquoi de cette extension (avec, notamment, la rencontre Annan-Powell de lundi), et comment elle s’étendrait aux domaines militaire, économique et politique. « Désormais, Bagdad vivra au rythme des relations entre la Maison de Verre et Washington », précise le conseiller onusien, revenu hier de Damas puis de Téhéran, où il a répondu, en compagnie de Sergio Vieira de Mello, aux nombreuses interrogations de Bachar el-Assad puis jaugé les intentions et les appréhensions de Mohammed Khatami. Quant à la situation sur le terrain, elle a été marquée hier, au cours du jour anniversaire du coup d’État de 1968, par la diffusion télévisée d’un nouvel enregistrement sonore attribué à Saddam Hussein.
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Le débat de mardi au Conseil de sécurité sur l’Irak est en train, de plus en plus, d’acquérir « une importance capitale » – un débat à l’issue duquel « l’extension du rôle de l’Onu sera pratiquement acquise ». Ghassan Salamé dixit, interrogé au téléphone, de Téhéran puis de Bagdad, par L’Orient-Le Jour. Et qui explique le pourquoi de cette extension...
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