Dans une allusion à peine voilée aux tiraillements au sein de l’Exécutif, M. Rafic Hariri a ainsi affirmé hier que si les engagements pris lors de la conférence de Paris II n’ont pas été respectés, la responsabilité en incombe à « tous les responsables de l’État et non pas seulement au gouvernement ».
Tout en reconnaissant qu’il est « indéniable » que les réformes évoquées à Paris II n’ont pas eu de suites, M. Hariri a refusé d’endosser la responsabilité du marasme économique, estimant qu’il serait « déplacé » de pointer un doigt accusateur contre le gouvernement à ce propos.
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