Le chef du gouvernement, Rafic Hariri, a reçu hier à Koraytem des ulémas, des juges chériés et des imams de mosquées de Beyrouth, devant lesquels il a fait l’éloge des vertus de « modération » et de « tolérance » et dénoncé la « violence » et l’« extrémisme » .
« Il y a un certain déséquilibre dans la situation des musulmans qui doit être traité », a poursuivi M. Hariri, soulignant que si l’existence de courants religieux divers était « naturelle », en revanche, « il n’est pas permis que les différences se muent en conflits » et que l’on en arrive à « vouloir éliminer l’autre ».
Appelant les dignitaires à se regrouper autour de Dar el-Fatwa, le Premier ministre a toutefois estimé que « s’il y a des erreurs, nous devons œuvrer à les rectifier, car dans le fond, les hommes s’en vont, mais les institutions demeurent ».
Le chef du gouvernement, Rafic Hariri, a reçu hier à Koraytem des ulémas, des juges chériés et des imams de mosquées de Beyrouth, devant lesquels il a fait l’éloge des vertus de « modération » et de « tolérance » et dénoncé la « violence » et l’« extrémisme » .« Il y a un certain déséquilibre dans la situation des musulmans qui doit être traité », a...
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