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Cellulaire - Le problème de fond reste entier Le Conseil des ministres s’accorde un nouveau sursis(photo)

Contrairement à ce qu’affirmait Rafic Hariri avant le débat budgétaire, la trêve imposée par Damas aux deux têtes de l’Exécutif au Liban, en raison de la grave conjoncture régionale, a fini par inclure la polémique sur le cellulaire. Réuni hier, le Conseil des ministres a évité un examen de fond de cette question, notamment au sujet des modalités de la privatisation de ce secteur. Il s’est contenté d’approuver l’accord de prorogation de la gestion du réseau par les deux opérateurs et a décidé de régler demain au plus tard les 180 millions de dollars que l’État leur doit en vertu du transfert de propriété. Il a également demandé à prendre connaissance des remarques de la société d’audit internationale KPMG au sujet des cahiers des charges du cellulaire. Au début de la séance, le chef de l’État et le Premier ministre avaient tous deux admis la nécessité, dans les circonstances actuelles, d’éviter tout sujet de friction dans le pays.
Contrairement à ce qu’affirmait Rafic Hariri avant le débat budgétaire, la trêve imposée par Damas aux deux têtes de l’Exécutif au Liban, en raison de la grave conjoncture régionale, a fini par inclure la polémique sur le cellulaire. Réuni hier, le Conseil des ministres a évité un examen de fond de cette question, notamment au sujet des modalités de la privatisation de...