Les États-Unis ont considéré hier que la crise irakienne entrait dans sa phase ultime et encouragé un exil du président irakien Saddam Hussein comme l’un des moyens d’éviter la guerre. « Le temps est compté », ont répété à l’unisson le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et le secrétaire d’État Colin Powell alors que d’importantes manifestations pacifistes se déroulaient aux États-Unis et dans le reste du monde. Sans en faire une date-butoir, la conseillère du président pour les Affaires de sécurité, Condoleezza Rice, a déclaré pour sa part que le rapport des chefs des inspecteurs en désarmement de l’Onu, dû le 27 janvier, marquait « le début de la dernière phase ». Ces déclarations surviennent alors que des progrès ont été enregistrés lors de la première journée de la visite à Bagdad des chefs des inspecteurs en désarmement de l’Onu, Hans Blix et Mohammed el-Baradei, venus presser les autorités irakiennes de coopérer plus activement pour pouvoir éviter une guerre.
Les États-Unis ont considéré hier que la crise irakienne entrait dans sa phase ultime et encouragé un exil du président irakien Saddam Hussein comme l’un des moyens d’éviter la guerre. « Le temps est compté », ont répété à l’unisson le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et le secrétaire d’État Colin Powell alors que d’importantes manifestations...
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