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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Vie politique Le PNL dénonce le zèle libanais à l'égard du référendum syrien

Dans son communiqué publié hier au terme de sa réunion hebdomadaire présidée par Dory Chamoun, le Parti national libéral a notamment déploré la manière dont les ressortissants syriens au Liban ont participé au référendum qui a eu lieu dans leur pays et qui a abouti à l’élection de Bachar el-Assad à la tête de l’État. Il a dénoncé «le comportement provocateur» d’un grand nombre d’électeurs syriens qui, selon lui, «ont foulé au pied les règles les plus élémentaires de l’hospitalité, en l’absence de mesures officielles permettant de contrôler leur présence». Le communiqué a en outre critiqué ceux qui, parmi les Libanais, ont participé de manière symbolique au référendum syrien. «Ce n’est vraiment pas le meilleur moyen de consolider les relations entre le Liban et la Syrie en tant qu’États voisins indépendants et souverains, à condition évidemment que tel soit leur objectif. Sinon, ils n’ont qu’à postuler à la nationalité syrienne pour faire de leur participation symbolique une participation effective», a ajouté le PNL. D’autre part, le parti s’est félicité de ce que le chef de l’État syrien ait appelé ses concitoyens à décrocher ses portraits des lieux publics. Il a souhaité que les Libanais «enthousiastes» suivent l’exemple dans leur propre pays. Sur un autre plan, le PNL a proclamé son appui au mouvement de protestation de la CGTL. Dans ce cadre, il a exhorté toutes les parties concernées à éviter d’exploiter les manifestations syndicales à des fins politiques ou électorales. Et de rappeler enfin que le remède à la crise ne réside pas «dans les tranquillisants dont les effets sont limités».
Dans son communiqué publié hier au terme de sa réunion hebdomadaire présidée par Dory Chamoun, le Parti national libéral a notamment déploré la manière dont les ressortissants syriens au Liban ont participé au référendum qui a eu lieu dans leur pays et qui a abouti à l’élection de Bachar el-Assad à la tête de l’État. Il a dénoncé «le comportement provocateur»...