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Actualités - CONFERENCES ET SEMINAIRES

Coopération - Initiative du Pnud avec la participation de représentants de 16 assemblées Symposium sur le développement parlementaire arabe

Un symposium sur le développement parlementaire arabe s’est ouvert hier place de l’Étoile, sur invitation lancée conjointement par le président de l’Assemblée Nabih Berry et le bureau régional pour les pays arabes du Programme des Nations unies pour le développement, le Pnud. Le symposium se prolongera jusqu’à demain et se tient notamment en présence de M. Noureddine Boushkoje, président de l’Union parlementaire arabe. Cette réunion s’inscrit dans le cadre du programme de ce bureau, destiné à renforcer la coopération interparlementaire arabe et à le doter d’outils adéquats et adaptés à son développement, et son efficacité. Le symposium revêt une importance unique dans le processus de coopération interparlementaire arabe de par la composition de ses participants et la nature des documents. Il réunit ensemble, et pour la première fois peut-être dans les annales parlementaires arabes, quelque soixante députés, académiciens et experts, tous arabes, venus de divers horizons pour débattre librement et professionnellement de la situation parlementaire arabe dans ses différentes composantes. Premier à prendre la parole hier, M. Yves de San, coordinateur résident des Nations unies et représentant résident du Pnud au Liban, a indiqué que «les promoteurs de ce symposium ont mis à la disposition de ses participants un ensemble d’études inédites et spécifiques, préparées spécialement à l’intention du symposium». «Toutes ces études, a-t-il ajouté, fournissent des analyses comparatives détaillées et presque exhaustives des divers aspects du travail parlementaire, au sein des Parlements arabes». Études comparatives Et le représentant du Pnud au Liban de préciser : «Une première étude compare les textes constitutionnels, juridiques et réglementaires qui régissent le travail parlementaire. Une deuxième est consacrée aux modalités de l’exercice de la fonction législative des Parlements arabes. Et une troisième diagnostique les pratiques de la fonction parlementaire sur l’action de l’autorité exécutive. Une quatrième établit le bilan des expériences et des innovations parlementaires dans le monde arabe. Dans ce domaine, une attention particulière a été réservée à l’expérience libanaise, vieille de plus de quatre-vingts ans». En conclusion, M. Yves de San a affirmé être «plein d’espoir et de confiance quant à la valeur des travaux du symposium» qui, a-t-il précisé, «parviendra au terme de ses débats, de ses échanges de vues, de ses analyses, à dégager des options quant aux meilleures voies susceptibles de renforcer les capacités institutionnelles des Parlements arabes et à indiquer les moyens de relever les défis qu’affrontent les sociétés dans cette partie du monde (...) dans un monde qui se globalise».
Un symposium sur le développement parlementaire arabe s’est ouvert hier place de l’Étoile, sur invitation lancée conjointement par le président de l’Assemblée Nabih Berry et le bureau régional pour les pays arabes du Programme des Nations unies pour le développement, le Pnud. Le symposium se prolongera jusqu’à demain et se tient notamment en présence de M. Noureddine...