Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS
La réponse du CNL
le 22 avril 2000 à 00h00
En réponse au communiqué présidentiel, le Courant national libre (aouniste), principal concerné dans cette affaire, a précisé que «le timing» des manifestations «nous a été imposé par les services de renseignements qui n’ont cessé de s’en prendre au courant et à ses partisans, depuis la nuit du jeudi 13 avril». Il a en outre affirmé dans un communiqué à la presse, que «le fait de réclamer le retrait de l’armée d’occupation syrienne était un droit et un devoir», avant de conclure :«Nous aurions souhaité que le président de la République, qui devrait être le garant de la liberté et de la dignité de la nation, joigne sa voix à celle du peuple qui rejette l’occupation». De son côté, l’ancien Premier ministre Michel Aoun a critiqué les propos que le chef du gouvernement Sélim Hoss a tenus jeudi au sujet de la déclaration du ministre français de la Défense Alain Richard. Il a notamment affirmé dans un communiqué que la réaction de M. Richard n’est en aucun cas «une ingérence dans les affaires intérieures libanaises». Il a en outre estimé que «la Syrie (...) n’oserait jamais demander des éclaircissements à la France, préférant exploiter les Libanais pour créer un climat d’ambiguïté, la protégeant des scandales».
En réponse au communiqué présidentiel, le Courant national libre (aouniste), principal concerné dans cette affaire, a précisé que «le timing» des manifestations «nous a été imposé par les services de renseignements qui n’ont cessé de s’en prendre au courant et à ses partisans, depuis la nuit du jeudi 13 avril». Il a en outre affirmé dans un communiqué à la presse,...
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