Le Parlement a tenté hier d’aiguiller le gouvernement sur la voie à suivre pour régler son contentieux avec les deux compagnies de téléphonie, mais non sans exprimer son mécontentement face au procédé suivi jusque-là par l’Exécutif. Au cours d’une séance extraordinaire consacrée au réseau GSM, le président de la Chambre, M. Nabih Berry, a sans ambages reproché au gouvernement de n’avoir pas suivi les conseils du ministre des P et T, M. Issam Naaman, qui souhaitait résilier le contrat avec Cellis et LibanCell ou transférer la gestion du réseau GSM à l’administration. Il a ainsi confirmé l’existence de divergences de vues entre les membres du gouvernement au sujet du règlement du conflit entre l’État et les deux sociétés privées. Toujours est-il que la Chambre se considère en session ouverte jusqu’à la résolution du conflit et doit se pencher de nouveau, le 23 mai prochain, sur le dossier de la téléphonie mobile. Des efforts seraient entre-temps déployés pour tenter de trouver une issue au problème qui se pose. Hier, l’ambassadeur de France, M. Philippe Lecourtier, a rendu visite au chef du gouvernement et au ministre des P et T, MM. Sélim Hoss et Issam Naaman, accompagné d’une délégation de Cellis. Aucune information n’a pu être obtenue sur la teneur des deux entretiens.
Le Parlement a tenté hier d’aiguiller le gouvernement sur la voie à suivre pour régler son contentieux avec les deux compagnies de téléphonie, mais non sans exprimer son mécontentement face au procédé suivi jusque-là par l’Exécutif. Au cours d’une séance extraordinaire consacrée au réseau GSM, le président de la Chambre, M. Nabih Berry, a sans ambages reproché au...
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent la paix ?
La Suisse remporte le concours de l'Eurovision marqué par les tensions autour d'Israël