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Actualités - CHRONOLOGIE

Infrastructure - L'entrée Est de Beyrouth décongestionnée Les ponts de la délivrance ... (photo)

À l’instar des autres entrées de Beyrouth, l’entrée Est semble devoir enregistrer un décongestionnement certain après la mise en service des nouveaux échangeurs du périphérique. Les automobilistes, obligés d’emprunter la route de Damas pour se rendre à leur lieu de travail, ou pour rentrer chez eux, verront ainsi la fin de leur double calvaire quotidien. C’est en effet hier que le ministre des Travaux publics Néjib Mikati a inauguré les échangeurs reliant les secteurs du Palais de justice à la route de Damas. La cérémonie s’est déroulée en présence du directeur du CDR Mahmoud Osman, du mohafez du Mont-Liban Adnan Domiaty et du président du conseil municipal de Furn el-Chebbak Raymond Semaan, et d’officiers des FSI. Après une inspection sur le terrain, M. Mikati a déclaré que l’exécution de tous les projets prévus se poursuit selon un ordre de priorités dicté par les besoins du pays et les possibilités du Trésor. Ce nouveau réseau de ponts, exécuté par le CDR, permettra une liaison directe entre le rond-point du Sayad et Achrafieh, d’une part, et le même rond-point du Sayad et celui de Tayouné, de l’autre. Les carrefours de Tahwita, de la Chevrolet, de la Galerie Semaan et de Mar Mikhaël, qui souffraient d’engorgements chroniques, seront ainsi évités. D’autant plus que la nouvelle voie express est doublée de routes secondaires desservant les quartiers intérieurs. Toutefois, les automobilistes sont en droit de se demander si les embouteillages, qui se produisaient auparavant aux carrefours précités, ne se reproduiront pas aux entrées et aux sorties des échangeurs.
À l’instar des autres entrées de Beyrouth, l’entrée Est semble devoir enregistrer un décongestionnement certain après la mise en service des nouveaux échangeurs du périphérique. Les automobilistes, obligés d’emprunter la route de Damas pour se rendre à leur lieu de travail, ou pour rentrer chez eux, verront ainsi la fin de leur double calvaire quotidien. C’est en...