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Actualités - CHRONOLOGIE

CORRESPONDANCE Ne grimpez plus sur la balance mais sur le pèse-gras

 WASHINGTON-Irène MOSALLI Autant que beauté, santé mon grand souci ! Il ne faut plus appréhender de monter sur la balance de peur de voir, de visu, les kilos de trop. Aujourd’hui, il faut plutôt avoir peur de monter sur le pèse-gras qui indique le pourcentage de lipides dans le corps. Il s’agit d’une nouvelle machine, avec un ordinateur encastré, similaire à la balance et baptisée «Bioelectrical Impedance». Elle comporte deux électrodes qui déclenchent le système lorsqu’on y pose les pieds. Ce contact déclenche une opération mathématique qui, selon le poids et le sexe de la personne (que l’on enregistre sur une fenêtre spéciale), calcule le pourcentage de gras dans le corps. Avant de s’examiner ainsi, il est recommandé de boire de l’eau. Et si l’on veut répéter ce contrôle, il vaut mieux le faire à la même heure. Seul inconvénient : si elle n’est pas munie de la fonction «athlète», cette machine n’opère pas avec acuité sur les sportifs et les personnes minces. À noter aussi qu’elle ne localise pas les dépôts de gras et qu’elle ne peut être utilisée par les personnes ayant un «pacemaker». Un autre gadget pour les obsédés de la bonne forme ? Peut-être pas car la médecine préventive n’en finit pas de conseiller d’être prudent dans ce domaine pour éviter les accidents cardio-vasculaires. Quant à savoir si l’on est dans la bonne norme, il faut se rappeler que le corps masculin emmagasine moins de graisse que le corps féminin. Chez une femme de 40 ans, le pourcentage varie de 23 à 34 % et dans cette fourchette, il est considéré comme normal, alors que chez l’homme, il est de 11 à 22 %. Il existe un autre appareil, plus simple pour faire ce test. Il s’agit d’une sorte de tenaille graduée, semblable à un compas et appelée «Accu-Measure». On pince la peau au niveau de la taille et le lecteur indique le pourcentage de gras. Pour vivre un an de plus, manger du chocolat Parlant de ce qu’il faut ou il ne faut pas faire, relevons une récente étude publiée par le British Medical Journal. Il y est dit que les personnes qui consomment régulièrement et avec modération du chocolat vivent un an de plus que ceux qui s’en privent. Cette étude s’appuie sur les dossiers médicaux de 7 841 hommes qui se sont inscrits à l’Université de Harvard, entre 1916 et 1950. Les chercheurs pensent que l’effet bénéfique du chocolat est dû à l’antioxydant phénol. Ils disent aussi que la quantité de cette matière se trouvant dans une tablettes de chocolat, de taille moyenne, équivaut à celle contenue dans un verre de vin rouge. À votre santé et aussi à votre bon plaisir de croquer du chocolat, noir, blanc, au lait, aux noisette etc… si vous avez le courage de vous arrêter en chemin, avant de déguster la boîte entière !
 WASHINGTON-Irène MOSALLI Autant que beauté, santé mon grand souci ! Il ne faut plus appréhender de monter sur la balance de peur de voir, de visu, les kilos de trop. Aujourd’hui, il faut plutôt avoir peur de monter sur le pèse-gras qui indique le pourcentage de lipides dans le corps. Il s’agit d’une nouvelle machine, avec un ordinateur encastré, similaire à la...