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PARTIS Pierre Gemayel : Un gouvernement fort pour éviter l’échec
le 20 octobre 2000 à 00h00
Durant une visite au bureau régional des Kataëb à Jbeil, où il a été accueilli par le chef du bureau Jad Nehmé, le député Pierre Gemayel a fait une série de remarques sur le nouveau gouvernement qui devrait «jouir de véritables prérogatives sur les plans politique et social parce que le pays ne peut continuer sur cette voie». Il a considéré qu’«un gouvernement incapable de mener à bien la réforme administrative et de réaliser l’entente nationale ne pourrait qu’échouer». Par ailleurs, M. Gemayel a qualifié de «courageux» les ministres Walid Joumblatt et Sleiman Frangié qui sont «ouverts au dialogue et à l’acceptation de l’autre». Sur sa rencontre avec M. Frangié, il a précisé qu’elle était «très positive et se concrétisera sur le terrain», ajoutant que «l’histoire a prouvé que nul ne pouvait anéantir l’autre». D’autre part, M. Gemayel a prôné une réunification du parti Kataëb «souhaitée par ses membres». «Les Kataëb pourraient constituer une véritable garantie s’ils jouaient un rôle national, et le temps est venu où un congrès général du parti devrait être organisé pour réaliser cette réunification, loin des intérêts personnels», a-t-il poursuivi. Interrogé sur l’appel de Bkerké, le jeune député a considéré qu’il constituait «un appel au dialogue et pourrait servir de plan de travail au prochain gouvernement». En réponse à une question, M. Gemayel a déclaré que «devenir ministre ne m’importe pas, seule compte la performance du prochain gouvernement au plan de l’entente nationale et de la réforme dans les différents secteurs». Il a ajouté : «un portefeuille au sein du gouvernement n’est pas un cadeau, vu les nombreux problèmes auquel il devra faire face».
Durant une visite au bureau régional des Kataëb à Jbeil, où il a été accueilli par le chef du bureau Jad Nehmé, le député Pierre Gemayel a fait une série de remarques sur le nouveau gouvernement qui devrait «jouir de véritables prérogatives sur les plans politique et social parce que le pays ne peut continuer sur cette voie». Il a considéré qu’«un gouvernement...
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