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Question écrite de Kassarji au sujet du cellulaire

Député de Zahlé, M. Georges Kassarji a adressé hier une question écrite au gouvernement, dans laquelle il lui pose une série de questions sur des anomalies qui entachent, selon lui, la procédure de réorganisation du secteur de la téléphonie mobile. M. Kassarji avait énuméré les anomalies, lors de son intervention au cours de la réunion parlementaire de lundi. Il avait critiqué le gouvernement avec virulence, lui reprochant de privilégier les intérêts des deux opérateurs du réseau GSM au détriment de ceux du Trésor. Il a repris les mêmes idées dans sa question écrite, interrogeant le gouvernement sur des réunions secrètes, rapportées par la presse, tenues à Paris par M. Hariri, puis par le secrétaire général du Conseil supérieur de la privatisation, Ghazi Youssef, avec des responsables de France Télécom. Il l’a aussi interrogé sur la nomination de M. Youssef à la tête de ce Conseil. « Le gouvernement accepte-t-il qu’un fonctionnaire, aussi haut placé soit-il, se substitue au Parlement et exige des comptes à un ministre en évaluant son style d’action ? » s’est-il demandé en allusion à la récente polémique, par communiqués interposés, entre MM. Youssef et Cardahi. M. Kassarji a aussi demandé pourquoi le gouvernement paiera des intérêts de 10 % à Cellis et LibanCell et s’il compte verser le même taux d’intérêt aux entrepreneurs, aux hôpitaux et aux propriétaires de terrains expropriés à qui il doit de l’argent. Le député a également requis des précisions sur l’arbitrage avec Cellis et LibanCell et sur la suspension des deux mandats de recouvrement de 300 millions de dollars chacun, lancés contre les deux sociétés.
Député de Zahlé, M. Georges Kassarji a adressé hier une question écrite au gouvernement, dans laquelle il lui pose une série de questions sur des anomalies qui entachent, selon lui, la procédure de réorganisation du secteur de la téléphonie mobile. M. Kassarji avait énuméré les anomalies, lors de son intervention au cours de la réunion parlementaire de lundi. Il avait...