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Actualités - CHRONOLOGIE

Cultures interdites Deuxième phase de la campagne d’éradication des stupéfiants(photo)

Mille soldats et huit cents gendarmes libanais, appuyés par 1 500 militaires syriens, ont entamé hier la deuxième phase de la campagne d’éradication des stupéfiants. L’opération, placée sous la supervision du commandant de la police judiciaire, le général Samir Sobh, est menée simultanément sur treize axes : douze dans la Békaa, s’étalant sur une superficie de 60 000 dounoms, et un au Liban-Nord, s’étalant sur 450 dounoms. 200 tracteurs agricoles, loués à 110 000 livres chaque par jour, sont utilisés pour déraciner les plants de haschisch et les écraser. L’opération doit en principe durer un mois entier et coûter quelque 300 millions de livres libanaises à l’État. Des sources généralement bien informées ont indiqué qu’une délégation d’Interpol groupant des officiers américains et européens est attendue en cours de semaine prochaine pour se rendre compte des progrès de l’opération. Dans une déclaration à la presse, le général Sobh a révélé que certains agriculteurs avaient déjà entamé la destruction de leurs cultures avant l’arrivée des militaires.
Mille soldats et huit cents gendarmes libanais, appuyés par 1 500 militaires syriens, ont entamé hier la deuxième phase de la campagne d’éradication des stupéfiants. L’opération, placée sous la supervision du commandant de la police judiciaire, le général Samir Sobh, est menée simultanément sur treize axes : douze dans la Békaa, s’étalant sur une superficie de 60 000...