L’hôpital privé est en situation financière précaire, et ce sont les patients qui risquent d’en faire les frais. Le président du syndicat des hôpitaux privés, le Dr Faouzi Adaïmi, lance depuis plusieurs semaines cri d’alarme sur cri d’alarme, réclamant le paiement des arriérés de 2001 que doivent, à ces hôpitaux, les preneurs en charge publics. À cette date, après mille lenteurs administratives, contrôles bureaucratiques et tracasseries financières, les hôpitaux n’ont reçu que 12 % de ces arriérés, et encore une partie d’entre eux sous forme de bons du Trésor insolvables, sinon à des conditions très désavantageuses. Après avoir fermé leurs portes face aux patients soignés aux frais de l’État, les hôpitaux privés ont une fois de plus mis en garde, hier, contre des réductions budgétaires qui les amèneraient à fermer certains de leurs services coûteux, si leur situation financière ne se rétablit pas. PAGE 4
L’hôpital privé est en situation financière précaire, et ce sont les patients qui risquent d’en faire les frais. Le président du syndicat des hôpitaux privés, le Dr Faouzi Adaïmi, lance depuis plusieurs semaines cri d’alarme sur cri d’alarme, réclamant le paiement des arriérés de 2001 que doivent, à ces hôpitaux, les preneurs en charge publics. À cette date,...
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