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«Fondation arabe pour l’image, une sélection du musée Nicéphore Niepce»(PHOTO)

Jusqu’au 12 juillet et dans le cadre du Mois de la photo, le CCF de Beyrouth expose une vingtaine de clichés de photographes arabes du XXe siècle. Comme le dit clairement l’introduction affichée dans l’entrée de la salle, «l’histoire des images et l’histoire en images peuvent s’écrire en arabe», et non plus seulement, comme on l’a trop longtemps vu, par les orientalistes européens. Par ce biais, la Fondation arabe pour l’image se propose de «retrouver le chaînon manquant entre l’Empire ottoman et le Moyen-Orient contemporain et contradictoire.» Sur les cimaises, six photographes : Antranik Anouchian (1908-1991), Najib el-Ghoussaini (1926), installé à Baakline, Hashem el Madani (1930), qui a ouvert le Studio Sheherazade à Tripoli, Fouad Bandali Ghorab (1929-1996), propriétaire du Studio Fouad à Accaoui et spécialiste en coloriage de portraits, Jibrail S. Jabbur (1900-1991), auteur de documents précieux, des photos du mouvement des tribus bédouines dans le désert syrien et Muhamad Arabi (1905-1983), fondateur à Tripoli du studio de la place al-Nejmeh. Un accrochage sans thème apparent, qui s’attache simplement à faire connaître des noms peu connus des balbutiements de la photographie dans le monde arabe. Des documents uniques. D.G.
Jusqu’au 12 juillet et dans le cadre du Mois de la photo, le CCF de Beyrouth expose une vingtaine de clichés de photographes arabes du XXe siècle. Comme le dit clairement l’introduction affichée dans l’entrée de la salle, «l’histoire des images et l’histoire en images peuvent s’écrire en arabe», et non plus seulement, comme on l’a trop longtemps vu, par les...