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La dérive policière inquiète Boutros Harb

La dérive policière du régime inquiète Boutros Harb. Le député de Batroun, figure de prouve de l’opposition, l’a redit samedi sur les ondes d’une radio locale. «Il existe une tendance à transformer le régime parlementaire en un régime policier, a-t-il affirmé, alors que nous n’avons pas retrouvé notre souveraineté et que la situation économique empire». Selon M. Harb, le Liban n’a pas retrouvé sa pleine souveraineté, en raison du conflit israélo-arabe et de la poursuite de l’occupation d’une parcelle de territoire. Mais les facteurs internes ne sont pas seuls à être en cause, a-t-il ajouté en substance. Les dirigeants libanais, selon lui, ne se sont pas montrés à la hauteur de leurs responsabilités dans la gestion des affaires nationales, et le facteur syrien continue d’infléchir les décisions du Liban. Attribuant aux circonstances régionales et internationales la non-application de l’accord de Taëf, le député du Batroun a refusé de considérer que le Parlement est le lieu indiqué pour un dialogue national élargi comme le préconise l’opposition. Toutes les forces ne sont pas représentées au Parlement qui, par ailleurs, est soumis comme toute institution à la loi de la majorité, a-t-il dit.
La dérive policière du régime inquiète Boutros Harb. Le député de Batroun, figure de prouve de l’opposition, l’a redit samedi sur les ondes d’une radio locale. «Il existe une tendance à transformer le régime parlementaire en un régime policier, a-t-il affirmé, alors que nous n’avons pas retrouvé notre souveraineté et que la situation économique empire». Selon M....