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Actualités - CHRONOLOGIES

Régions - Un centre médico-social géré par la fondation Hariri inauguré au Akkar - Jisr souligne l’importance de l’action combinée des secteurs public et privé

Un centre médico-social géré par la fondation Hariri a été inauguré hier dans la localité de Akkar el-Atika. La cérémonie, placée sous le patronage du Premier ministre Rafic Hariri, a eu lieu en présence du ministre de la Justice, Samir Jisr, représentant le chef du gouvernement, des députés Ahmed Fatfat et Mohammed Yahya, du métropolite grec-orthodoxe du Akkar, Mgr Boulos Bandali, et de nombreux pôles d’influence politiques et sociaux de la région. Le centre médico-social comprend, notamment, des cliniques pour la médecine familiale, la pédiatrie, la cardiologie, la gynénicologie, la radiologie et les soins dentaires. Prenant la parole au début de la cérémonie, le directeur du centre, Noureddine el-Kouch, a remercié le Fonds koweïtien pour sa contribution au financement des travaux de construction du bâtiment abritant les cliniques en question. Le ministre de la Justice a prononcé de son côté une allocution dans laquelle il a mis l’accent sur l’importance de l’action combinée menée conjointement par les secteurs public et privé. Affirmant que la région du Akkar avait été trop longtemps négligée par les gouvernements qui se sont succédé au pouvoir, M. Jisr a souligné que les épreuves endurées par la population du Akkar constituent une préoccupation majeure pour le Premier ministre. Abordant le rôle de la société civile dans le développement des régions, le ministre de la Justice a déclaré : «Nous avons la conviction qu’il n’y a pas de substitut à l’État. Mais dans le même temps, nous sommes conscients du rôle que pourraient jouer les institutions de la société civile dans l’édification de l’État. Dans les pays civilisés, les institutions de la société civile sont considérées comme une nécessité parce qu’elles sont en mesure de donner un élan certain aux services publics du fait de la souplesse de leurs capacités administratives. Si tel est le cas des pays civilisés, il en est de même, à plus forte raison, des pays en voie de développement, tels que le Liban». Et le ministre de la Justice de poursuivre : «L’importance de l’expérience que constitue ce nouveau centre médico-social réside dans la coopération entre les deux secteurs public et privé. Le secteur privé, représenté par la direction des affaires médicales et sociales de la fondation Hariri, a ainsi loué ce centre médical créé par l’État. Ce centre est équipé et géré sur des bases modernes par la fondation Hariri afin d’assurer des services médicaux complets à la population». M. Jisr a, d’autre part, souligné que la clé du succès de toute administration est «la connaissance, l’objectivité et la compétence». «Il s’agit là de la ligne de conduite suivie par le courant du Premier ministre et par la fondation Hariri, en particulier», a affirmé sur ce plan le ministre de la Justice. En conclusion, M. Jisr a déclaré que le chef du gouvernement n’a jamais envisagé de monopoliser à son propre profit ou au profit de sa fondation les compétences dont il pourrait bénéficier.
Un centre médico-social géré par la fondation Hariri a été inauguré hier dans la localité de Akkar el-Atika. La cérémonie, placée sous le patronage du Premier ministre Rafic Hariri, a eu lieu en présence du ministre de la Justice, Samir Jisr, représentant le chef du gouvernement, des députés Ahmed Fatfat et Mohammed Yahya, du métropolite grec-orthodoxe du Akkar, Mgr...