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Actualités - CHRONOLOGIES

Honein : On ne consolide pas l’unité d’un pays par la répression ou par la terreur

L’ironie comme arme ultime contre la répression, et les atteintes multiples et polymorphes aux libertés. Avec cette arme-là, Salah Honein a fait mouche hier, place de l’Étoile. «Tous ceux qui se plaignent de la régression des libertés n’ont pas pris la bonne mesure des efforts déployés par l’État. Et qui visent à inventer et développer bien d’autres formes de libertés. Exemples : la liberté d’espionner. Celle de pirater les communications internationales. Celle de tabasser et d’amener par la force. Celle de réprimer. Celle de s’attacher de toutes ses forces à une relation libano-syrienne déséquilibrée. Celle de légiférer et de confirmer ce qui est provisoire parce que nécessaire…». Provisoire et nécessaire : les deux adjectifs utilisés par l’État pour qualifier la présence syrienne au Liban et dont le député de Baabda en démontre la flagrante contradiction. «Et ce qui est nécessaire, c’est bien plutôt la réconciliation nationale, le dialogue, la coexistence… Le patriarche Sfeir et Walid Joumblatt ont récemment montré ce qui était nécessaire», a-t-il ajouté. Confirmant que les efforts de tous ceux qui veulent consolider l’unité par la répression et la terreur resteront bel et bien vains.
L’ironie comme arme ultime contre la répression, et les atteintes multiples et polymorphes aux libertés. Avec cette arme-là, Salah Honein a fait mouche hier, place de l’Étoile. «Tous ceux qui se plaignent de la régression des libertés n’ont pas pris la bonne mesure des efforts déployés par l’État. Et qui visent à inventer et développer bien d’autres formes de...