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Actualités - CHRONOLOGIES

Hommage à Élie Bouez

À l’approche de la première commémoration du décès du regretté Élie Bouez, Diane Elmas nous adresse les lignes suivantes : À Sarba, dont tu es originaire et où je vis, on t’appelait «Hakim», «Rayess», toi le président des cœurs, en raison du score que tu avais enregistré aux municipales. Les milliers de voix qui t’avaient classé en tête aux élections ne t’avaient pas changé : toujours modeste, serviable, aimable, toi qui, hélas, nous as quittés il y a presque un an. Je n’oublierai jamais ton enthousiasme à aider les démunis, à trouver des emplois aux jeunes et à nous apprendre à aimer notre terre. Grâce à toi, à travers toi, nous avons, ma famille et moi, aimé le Kesrouan, Jounieh, Sarba, Adma, dont tu avais fait une localité modèle. Rappelle-toi, tu fus le premier à aménager, en 1997, le site de la «Batié» à Kaslik pour faire découvrir à un groupe de dames et d’épouses de diplomates conviées par ta femme Mireille cette «grotte miraculeuse» dont j’ignorais l’existence, moi qui habite juste à côté. À la télévision, tu avais demandé d’inscrire, sur la carte touristique du Liban, ce site merveilleux de Jounieh. Jounieh dont tu étais amoureux et dont tu rêvais de faire un deuxième Monaco avec ses palmiers, sa mer, ses rues aux noms d’artistes et de poètes, et son musée marin. Puisse ton rêve se réaliser et Jounieh devenir une «ville durable» comme tu le souhaitais dans tes conférences à l’étranger. Paix à ton âme, tu es toujours dans nos cœurs, ton souvenir restera à jamais gravé dans nos mémoires.
À l’approche de la première commémoration du décès du regretté Élie Bouez, Diane Elmas nous adresse les lignes suivantes : À Sarba, dont tu es originaire et où je vis, on t’appelait «Hakim», «Rayess», toi le président des cœurs, en raison du score que tu avais enregistré aux municipales. Les milliers de voix qui t’avaient classé en tête aux élections ne...