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Actualités - CHRONOLOGIES

LITTÉRATURE - Ghada as-Samman - dans un mémoire de maîtrise - de l’Université de Strasbourg

Avec une œuvre substantielle, riche et variée, Ghada as-Samman est une mine de trésors pour les chercheurs. Une fois de plus, elle vient d’être le sujet d’un mémoire de maîtrise, rédigé par Nada Chahine Haïdar, de l’Université de Strasbourg. Cette étude des plus complètes s’arrête sur les principales étapes de la vie et de la production de cet écrivain qui n’a pas cessé d’être parmi les best-sellers du monde arabe. On la retrouve donc à travers son enfance, dans son pays d’origine la Syrie, puis à travers ses pérégrinations européennes et enfin son port d’attache, Beyrouth. Ghada as-Samman écrivain est abordée, à travers sa trentaine d’ouvrages, sous les angles suivants : «les débuts dans la nouvelle», les «œuvres engagées», «la condition féminine», «la défaite de 1967 et ses séquelles», «la guerre libanaise vue de l’intérieur et de l’extérieur» «l’exil», et le dernier roman de l’auteur, Mosaïque damascène. «Ce dernier, explique Nada Chahine Haïdar, est une image enchanteresse et délicieuse du vieux Damas... Une mosaïque qui reflète la vie politique et sociale dans la capitale syrienne des années 40 et 50». À l’occasion de la publication de ce mémoire, Ghada as-Samman a été invitée à donner, en automne prochain, une conférence au Département d’études arabes et islamiques. Par ailleurs, cet écrivain, qui a été traduite en plusieurs langues et qui vit et travaille depuis deux décennies entre Paris et Beyrouth, met la dernière touche à un nouveau roman qui s’intitulera probablement De Paris à mon cauchemar préféré... Beyrouth.
Avec une œuvre substantielle, riche et variée, Ghada as-Samman est une mine de trésors pour les chercheurs. Une fois de plus, elle vient d’être le sujet d’un mémoire de maîtrise, rédigé par Nada Chahine Haïdar, de l’Université de Strasbourg. Cette étude des plus complètes s’arrête sur les principales étapes de la vie et de la production de cet écrivain qui n’a...