À l’initiative du mouvement des droits humains, quelque 400 élèves se sont rassemblés hier au siège du syndicat de la presse pour réclamer l’abolition de la peine de mort. Le mouvement avait tenu plusieurs réunions avec les jeunes pour leur parler de la peine de mort «afin de faire participer les citoyens de demain à la création de la nation dont ils rêvent». Georges Skaff, ancien ministre et actuel vice-président du syndicat de la presse, a prononcé à cette occasion une allocution dans laquelle il a considéré que «la punition ne devrait pas être similaire au crime, il faudrait en traiter les causes et non pas simplement punir le coupable». Le mouvement des droits humains mène campagne contre la peine de mort depuis longtemps déjà. En avril, une soixantaine d’associations et de partis libanais avaient adressé une lettre ouverte aux dirigeants pour réclamer l’abolition de la peine de mort. Ils avaient demandé au Parlement d’abroger la loi adoptée en 1994 qui prive les criminels du bénéfice des circonstances atténuantes en cas de meurtre avec préméditation.
À l’initiative du mouvement des droits humains, quelque 400 élèves se sont rassemblés hier au siège du syndicat de la presse pour réclamer l’abolition de la peine de mort. Le mouvement avait tenu plusieurs réunions avec les jeunes pour leur parler de la peine de mort «afin de faire participer les citoyens de demain à la création de la nation dont ils rêvent». Georges...
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