Un groupe d’élèves de la classe de seconde du collège Notre-Dame de Jamhour a rendu public le résultat d’un travail collectif entamé au début de cette année et qui avait pour objectif de «réconcilier les jeunes Libanais avec la lecture de la presse écrite». Le travail a été effectué par onze élèves, filles et garçons, encadrés par un professeur de français. En enquêtant auprès de jeunes, de leurs parents, de professeurs et en interrogeant une psychologue scolaire ainsi que quelques journalistes, le groupe d’élèves a abouti au constat suivant : les jeunes, malgré la pression en ce sens qu’ils subissent des adultes, lisent peu la presse écrite. Le rapport élaboré par les élèves indique notamment que «beaucoup de jeunes se plaignent du grand nombre d’articles politiques» dans la presse libanaise. Et le rapport d’ajouter : «Ce qui pousse surtout tant de jeunes à négliger la lecture, selon tous les adultes rencontrés, ce serait la paresse. Bien sûr les jeunes s’en défendent mais reconnaissent néanmoins que l’information quotidienne est beaucoup plus “accessible” à la télévision. En conclusion, le rapport souligne que «pour beaucoup de lycéens, le coût de la presse est un obstacle à l’achat d’un journal d’une manière régulière».
Un groupe d’élèves de la classe de seconde du collège Notre-Dame de Jamhour a rendu public le résultat d’un travail collectif entamé au début de cette année et qui avait pour objectif de «réconcilier les jeunes Libanais avec la lecture de la presse écrite». Le travail a été effectué par onze élèves, filles et garçons, encadrés par un professeur de français. En...
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