«Tandis que l’économie prospère, l’écologie dégénère». L’auteur, Jean-Marie Pelt, est professeur de biologie végétale et de pharmacologie. Tout en étant conscient, comme le reste de la planète, de l’implantation toujours plus puissante de l’économie, il évoque très clairement les problèmes inhérents à la mondialisation des lois impitoyables du marché. Les changements climatiques, la pollution de l’air, de l’eau, le génie génétique, le nucléaire : tous ces sujets sensibles qui sortent constamment du raisonnable, de la normalité, de la mesure. De la nature, en un mot. Jean-Marie Pelt s’appuie sur des chiffres et des informations journalistiques qui rendent la lecture facile. On ne demandait pas plus. Le sujet écologique est suffisamment inquiétant pour ne pas être évoqué simplement, peut-être même un peu trop poétiquement vers la fin : mais après tout, pourquoi ne pas écouter les sagesses anciennes ? N’ont-elles pas prouvé qu’en respectant la planète, la santé de l’homme et son équilibre ne s’en portent que mieux ?
«Tandis que l’économie prospère, l’écologie dégénère». L’auteur, Jean-Marie Pelt, est professeur de biologie végétale et de pharmacologie. Tout en étant conscient, comme le reste de la planète, de l’implantation toujours plus puissante de l’économie, il évoque très clairement les problèmes inhérents à la mondialisation des lois impitoyables du marché. Les...
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