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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

PROCHE-Orient Damas s'engage à avancer "aussi loin" qu'Israël vers la paix

Le vice-président syrien Zouheir Macharka a déclaré hier que son pays s’en tenait au retrait d’Israël du Golan jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 et ne céderait «aucune parcelle» de sa terre occupée. «La paix réclamée par la Syrie se base sur les résolutions internationales et le principe de l’échange de la terre contre la paix qui conduirait au retrait d’Israël du Golan jusqu’à la ligne du 4 juin 1967», a affirmé M. Macharka. «Tout propos sur la paix restera vain s’il n’est pas accompagné d’actes, et la Syrie avancera vers la paix aussi loin que le fera le gouvernement israélien, tout en demeurant attachée à une politique qui ne brade aucun de ses droits spoliés et ne renonce à aucune parcelle de sa terre occupée», a affirmé le responsable syrien. Damas affirme que l’ancien gouvernement travailliste de Yitzhak Rabin avait accepté un retrait total du Golan. Un tel retrait rendrait à Damas le contrôle de la rive nord-est du lac de Tibériade, principal réservoir d’eau d’Israël. Pour sa part, la radio officielle syrienne a affirmé hier que «le climat au Proche-Orient n’a jamais été aussi favorable (...) Aussi est-il important de saisir l’occasion pour poursuivre les négociations sur tous les volets», syrien, libanais et palestinien, du processus de paix. Soulignant que les négociations sur les volets syrien et libanais «doivent être entreprises simultanément», Radio-Damas a averti que les discussions seraient «difficiles et exigeraient du temps et des efforts».
Le vice-président syrien Zouheir Macharka a déclaré hier que son pays s’en tenait au retrait d’Israël du Golan jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 et ne céderait «aucune parcelle» de sa terre occupée. «La paix réclamée par la Syrie se base sur les résolutions internationales et le principe de l’échange de la terre contre la paix qui conduirait au retrait d’Israël du Golan...