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Actualités - OPINION

A bout portant Un tact pas intact

Bonjour. Relever une faute de goût, c’est souvent en commettre une. Surtout lorsque, nonobstant les circonstances, l’impair a pu vous procurer un plaisir rare et un rare plaisir. Ce n’est pas tous les jours en effet que l’on a l’occasion de se plonger à la télé – nous ne dirons pas laquelle – dans le sublime Requiem de Mozart. Dans une version magistrale interprétée par des Allemands dans l’imposante cathédrale de Stuttgart. Le hic, le couac, quoique l’intention soit louable, c’est que cette œuvre oratorienne, absolument représentative d’un art musical religieux strictement défini comme chrétien occidental, était présentée en hommage à Hussein. Descendant du Prophète et prince oriental s’il en fut. On protestera que la musique n’a pas de frontières. Mais les convenances, qui sont finalement le sens du respect d’autrui et de soi, si. Notamment en matière de deuil où en faire trop est pire que de ne faire rien. Au revoir, portez-vous bien.
Bonjour. Relever une faute de goût, c’est souvent en commettre une. Surtout lorsque, nonobstant les circonstances, l’impair a pu vous procurer un plaisir rare et un rare plaisir. Ce n’est pas tous les jours en effet que l’on a l’occasion de se plonger à la télé – nous ne dirons pas laquelle – dans le sublime Requiem de Mozart. Dans une version magistrale interprétée par des...